Thème :DIRIGER SANS ASSURANCE


« NE FAITES RIEN PAR RIVALITÉ OU PAR VAINE GLOIRE » PHILIPPIENS 2.3

Un leader peu sûr de lui se trouve devant un dilemme : si ceux qu’il dirige font du bon travail, il craint qu’ils lui fassent de l’ombre. Mais s’ils sont médiocres, c’est toujours lui qui sera responsable des mauvais résultats. Alors il cherche à tout faire lui-même. En conséquence, il échoue ou ne réussit pas grand chose. Paul le dit à sa manière : « Ne faites rien par rivalité ou par vaine gloire, mais dans l’humilité, estimez les autres supérieurs à vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres » (v.3–4). Un dirigeant sûr de lui a confiance en son équipe. Il n’est pas arrogant ; il connaît ses forces et ses faiblesses. Lorsque ses employés réussissent, il ne se sent pas menacé. Il fait tout son possible pour rassembler les meilleurs talents, puis les renforce pour qu’ils performent au plus haut niveau. Les succès de son groupe lui procurent une grande joie. Il y voit le plus grand compliment possible pour sa capacité à diriger. Un auteur écrit : « Pour être en mauvais termes avec les autres, il suffit d’être mal à l’aise avec soi-même. » Alors que faire ?

1) Bien se connaître. Si vous avez du mal à vous situer, demandez à une personne en qui vous avez confiance de citer vos trois plus grandes forces et faiblesses. Ne discutez pas sa réponse. Rassemblez les informations et réfléchissez‑y.

2) Obtenir de l’aide. Vous le méritez, vous le valez ! Avec plus d’assurance, vous atteindrez un nouveau palier de bénédiction et d’accomplissement.

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Thème :TOUJOURS PROGRESSER


« ON DEMANDERA BEAUCOUP À QUI L’ON A BEAUCOUP DONNÉ » LUC 12.48

Un auteur ironise : « Le talent sans la rigueur, c’est comme un poulpe sur patins à roulettes. Il gesticule, mais on ne sait jamais s’il avance ou s’il recule. » Si avec votre talent vous gesticulez beaucoup pour peu de résultats, vous devez manquer d’autodiscipline. Qu’avez-vous fait la semaine dernière ? Combien de temps avez-vous consacré à des activités régulières ? Avez-vous cherché à vous améliorer ? Si vous avez remis trop de choses à plus tard, soyez plus rigoureux. Une pépinière canadienne affiche ce slogan sur son mur : « Le meilleur moment pour planter un arbre, c’était il y a 25 ans… À défaut, autant le planter aujourd’hui. » Alors mettez-vous dès aujourd’hui à l’autodiscipline. Voici quatre raisons.

1) Pour chaque marche à gravir, il y a un prix à payer. Sidney Howard a déclaré : « Savoir ce que vous voulez, c’est pour moitié savoir ce que vous devez abandonner avant de l’obtenir. »

2) Être prêt à commencer par de petites choses. D’abord vos gains seront réduits, mais ils vont grandir. La différence entre le médaillé d’or et les autres concurrents n’est souvent que de quelques centièmes de seconde.

3) Savoir bien s’entourer. Puisque le progrès implique toujours un certain degré de risque et d’échec, choisissez un environnement où la croissance et l’expérimentation sont encouragées.

4) Se croire capable de toujours faire mieux. Quel que soit votre talent, vous aurez toujours la possibilité d’être meilleur(e). Ainsi, avec l’aide de Dieu, vous pouvez continuer à vous améliorer.

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Thème :QUELLE EST VOTRE VISION ?

« SON ASPECT ÉTAIT TEL QUE JE L’AVAIS VU DANS LA VALLÉE » ÉZÉCHIEL 8.4

Si Dieu vous donne une vision, elle changera votre vie. John Sculley, ancien président de grandes multinationales, a dit : « L’avenir appartient à ceux qui voient les possibilités avant qu’elle ne deviennent évidentes. » La Bible nous dit que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas » (Ro 4.17). Une vision vous dépeint la cible, allume un feu en vous et vous pousse vers l’avant. Si votre projet ne vient pas d’un désir ardent et profond, vous ne pourrez pas l’accomplir. Et c’est logique, parce que tout au long du chemin vous aurez à surmonter de nombreux obstacles. La vision d’Esther lui demandait de mettre sa vie en danger pour sauver le peuple juif. Elle a dit : « Si c’est pour ma perte, je périrai ! » (Est 4.16). Certes elle n’est pas morte, mais elle y était prête. Et vous ? Il vous faut deux choses pour accomplir votre vision. 1) Évaluez-vous. Si vous avez déjà pensé à la vision de votre vie et l’avez clairement énoncée, voyez dans quelle mesure vous la mettez en œuvre. Parlez à vos amis de confiance et demandez-leur ce qu’ils pensent de votre vision. Et s’ils peuvent la verbaliser, alors vous êtes sans doute sur la bonne voie. 2) Notez-la noir sur blanc. La Bible dit : « Écris une vision, grave-la sur les tablettes, afin qu’on la lise couramment » (Ha 2.2). Écrire clarifie votre pensée. Une fois votre vision écrite, elle devient la feuille de route vers votre destination. Consultez-la souvent et suivez-la de toutes vos forces. Dans ce cas, vous pourrez probablement la voir se réaliser.
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Thème :SOYEZ RÉALISTE (2)

« UN HOMME PRUDENT VOITVENIR LE MALHEUR ET SE MET À L’ABRI » PROVERBES 22.3

Voici trois effets bénéfiques de la pensée réaliste.

1) Elle procure une sensation de sécurité. Si on envisage le pire et qu’on prévoit des plans d’urgence pour y faire face, on augmente sa confiance. Il est rassurant de savoir qu’on ne sera pas pris de court. La déception vient de la différence entre les attentes et la réalité. Penser de manière réaliste minimise l’écart entre les deux.

2) Elle rend crédible. Les dirigeants qui sont continuellement surpris par l’inattendu perdent vite leur crédibilité aux yeux de leurs partisans. À l’inverse, ceux qui pensent de manière réaliste et planifient en conséquence se positionnent pour gagner et inspirent confiance à leurs adeptes. Alors avant d’inviter quelqu’un d’autre à partager votre projet, demandez-vous si c’est possible, si vous avez pesé le pour et le contre, et si vous avez une base solide sur laquelle bâtir. Thomas Edison observe : « Une bonne idée ne vaut que si on l’utilise. »

3) Elle permet de concrétiser une idée en supprimant le « facteur rêve ». La plupart des efforts ne vont pas au bout car ils dépendent davantage du rêve que de la réalité. Une maison ne se construit pas dans les airs. Elle a besoin d’une solide fondation. C’est pareil pour les idées et les projets. Il leur faut du concret sur lequel bâtir, et une réflexion réaliste la fournit. Salomon le dit en ces termes : « Un homme prudent voit venir le malheur et se met à l’abri. Les ignorants y donnent tête baissée et le paient cher ». Voici donc votre parole du jour : soyez réaliste.

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Thème :SOYEZ RÉALISTE (1)


« LEQUEL D’ENTRE VOUS, S’IL VEUT BÂTIR UNE TOUR, NE S’ASSIED PAS D’ABORD POUR CALCULER LA DÉPENSE ? » LUC 14.28

La réalité se situe entre ce qu’on espère et ce qui existe. Les gens d’un naturel optimiste peuvent avoir du mal à être réalistes. Ils pourraient même penser que c’est le contraire de la foi. Faux, la foi ne dénie pas le problème, elle met en communication avec Dieu qui peut alors vaincre par sa puissance. Voici deux effets positifs de la pensée réaliste.
1) Elle réduit les risques inutiles. Tout acte a des conséquences. Le réalisme permettra de bien les évaluer. C’est important quand ils affectent les autres. Le vieil adage dit : « Espère le meilleur mais prépare-toi au pire ». En pensant de cette façon, on minimise les risques inutiles. On a un objectif, avec un plan pour l’atteindre. Certes il faut espérer pour réussir, mais l’espoir seul ne suffit pas.
2) Elle montre les changements nécessaires. Les gens qui ne misent que sur l’espoir font rarement du changement leur priorité. Ils sous-entendent que le succès n’est pas entre leurs mains. C’est une question de chance, alors pourquoi se donner la peine de changer. Rien ne vaut le réalisme pour aider à voir ce qui doit être modifié. Le changement seul n’apporte pas de croissance, mais il n’y a pas de croissance sans changement. Rien de mieux que de suivre le Christ pour être béni, mais il y a un prix à payer. Jésus en parlait avec réalisme : « Quiconque ne porte pas sa croix et ne me suit pas, ne peut être mon disciple. Car, lequel d’entre vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied pas d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi la terminer ? » (v.27–28).

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