Thème : LA SOIF DE L’ÂME


« NUL NE S’INQUIÈTE DE MA VIE » PSAUMES 142.5
Les femmes qui se sentent seules se tournent vers leur mari pour étancher leur « soif de l’âme », mais hélas, les hommes ne savent pas tenir ce rôle. Et la vie moderne n’arrange rien. Autrefois, il existait une grande complicité entre femmes. Elles cuisinaient ensemble, allaient à l’église et vieillissaient ensemble. À chaque naissance, tantes, grands-mères et voisines étaient là pour partager leur expérience avec la nouvelle maman. Mais aujourd’hui, la famille élargie n’existe plus, et les jeunes mères se retrouvent démunies. De plus, bien des familles déménagent régulièrement, empêchant les amitiés à long terme. Les femmes doivent comprendre que certains de leurs besoins ne peuvent tout simplement pas être satisfaits par leur mari. Dans un roman, une adolescente dit : « Une amie intime, vous savez, une âme sœur à qui je peux confier le tréfonds de ma pensée. Toute ma vie j’ai rêvé de la rencontrer. » Elle exprime un désir typiquement féminin assez étranger aux hommes. C’est le manque d’une amitié intime qui permet d’expliquer la dépression courante chez certaines femmes. David en parle en ces termes : « Personne ne me reconnaît, toute fuite m’est impossible, nul ne s’inquiète de ma vie ». Pour lutter contre ce sentiment d’isolement, il est important que les femmes se créent un réseau d’amies à travers des activités diverses et variées. Leurs échanges peuvent sembler informels et superficiels, mais les liens ainsi tissés leur rendent la vie beaucoup plus agréable.

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LES VOIX DU PASSÉ


« AFIN QUE NOUS DEVENIONS EN LUI JUSTICE DE DIEU » 2 CORINTHIENS 5.21
Gandhi a dit : « Je ne laisserai jamais personne traverser mon esprit les pieds sales. » Pourtant, c’est ce qui arrive quand on écoute les anciennes voix qui nous condamnent. Un auteur écrit : « Les accusations prennent diverses formes : “Tu n’es pas aussi spirituel que tu le devrais. Tu n’en as pas fait assez la semaine dernière. Dieu ne peut pas te bénir à cause de ton passé.” Ce sont des mensonges. On n’a pas à se sentir condamné après avoir fait des erreurs. Paul lui-même a dit : “Je ne fais pas le bien que je veux, mais je pratique le mal que je ne veux pas” (Ro 7.19). Il y a un temps pour se repentir et un temps pour oublier et avancer. On ne peut pas changer le passé. Si on est poursuivi par la culpabilité d’hier, on n’a pas la force de vaincre aujourd’hui. La Bible dit : “Revêtez la cuirasse de la justice” (Ep 6.14). Le bouclier couvre votre cœur, votre for intérieur, votre façon de réfléchir et de vous sentir. Si vous pensez : “Je n’ai pas d’avenir. J’ai tout gâché. Dieu ne peut pas être content de moi“, c’est “l’accusateur“ qui parle. Il n’a aucune autorité sur vous. » Dieu dit : « Il a été précipité » (Ap 12.10). Alors tenez bon et rappelez-lui que « celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2Co 5.21). Comme tout le monde, vous avez sans doute votre compte d’erreurs. Mais Dieu vous voit « en Christ ». Vous êtes donc « entier », « justifié » et « accepté ». Vous êtes une œuvre en devenir et il ne vous abandonnera pas !
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Du calme (1)


« MAIS JE FAIS UNE CHOSE » PHILIPPIENS 3.13

On vit à l’heure du multitâche. On téléphone, on se maquille, on boit son café, on déjeune, on lit ses messages en fonçant sur l’autoroute. Richard Swenson dit : « Il arrive que ce soit productif, comme tricoter en regardant les infos. Parfois on considère que c’est une nécessité. Les agents de change sont tenus de faire cinq choses en même temps. Mais n’est-ce pas étrange de voir un courtier de 48 ans tomber raide mort et ses collègues continuer leur travail pendant que les secours s’affairent autour du corps sans vie ? L’escalade dramatique de l’agitation nous oblige à en faire trop en peu de temps. Le standard, c’est de ne jamais refuser une tâche supplémentaire et d’en faire deux, trois ou quatre à la fois. On en fait toujours plus avec de moins en moins. Mauvais calcul ! En faisant deux choses à la fois, on détourne 30 % de son attention ; on sacrifie la qualité pour la quantité. On peut certes finir plusieurs tâches en même temps, mais avec des résultats médiocres et les nerfs à vif. On n’évoque pas assez les inconvénients du multitâche. Alors on continue à vouloir tester nos limites. Mais dans les relations humaines, le multitâche peut être désastreux. Écouter les autres prend trop de temps. La famille a des besoins urgents. Les bébés ont des exigences ponctuelles. Soit on est parent, soit on ne l’est pas. Paul ne vivait pas ainsi. Il se concentrait sur “une chose”, la personne en face de lui. » Un chien a quatre pattes mais il ne cherche pas à prendre quatre chemins différents ! Alors du calme, prenez votre temps.

DU CALME ! (2)

« NE VOUS CONFORMEZ PAS AU MONDE PRÉSENT » ROMAINS 12.2

Notre société produit du stress. Pour chaque heure que la technologie fait gagner, elle en consomme deux de plus. Un auteur écrit : « Chaque fois que vous acceptez une tâche, vous refusez d’autres options. Agissez en chrétien. Ne copiez pas le comportement de ce monde où tout n’est qu’urgence. Prenez le temps d’écouter les autres et d’en prendre soin. La marque d’un chrétien est l’amour, et on ne peut pas aimer à la hâte. » Voici donc ce qu’il vous faut pour ralentir:
1) Simplifiez votre vie. « Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus » (Mt 6.25). Mettez Dieu en premier et tout le reste suivra. Marlene Eissens est partie pour la fac avec juste une valise dans sa voiture. Aujourd’hui, elle a une belle maison mais tout ce qu’elle n’utilise plus est envoyé à une œuvre caritative. Elle dit : « Je ressens une vraie liberté parce qu’avec moins, je suis libre de me concentrer sur Dieu. »

2) Respectez le jour du Seigneur. Todd Gitlin affirme : « La société est sur les nerfs. On a du mal à s’asseoir et à réfléchir sereinement. » Réservez au moins une journée par semaine pour vous reposer, passer du temps avec vos proches et communier avec votre famille spirituelle.

3) « Contentez-vous de vos biens actuels » (Hé 13.5). Vous serez toujours tenté(e) d’en vouloir davantage, mais vous vous rapprocherez de Dieu en lui faisant plus de place dans votre vie. Comme le dit J. I. Packer : « On déshonore Dieu si on proclame un Sauveur qui satisfait, avant de repartir mécontent. »

DU CALME ! (3)


« QU’IL N’EN SOIT PAS AINSI POUR VOUS TOUS QUI PASSEZ VOTRE CHEMIN » LAMENTATIONS 1.12
Dans le métro, par un froid matin de janvier, un violoniste joue du Bach en pleine cohue. Après trois minutes, un homme s’arrête quelques secondes puis s’éloigne. Quatre minutes plus tard, le jeune artiste reçoit son premier dollar. Une femme l’a jeté dans son chapeau sans s’arrêter. Au bout de six minutes, un homme s’adosse au mur pour écouter, regarde sa montre et repart en courant. Après dix minutes, un petit garçon s’arrête, mais sa mère le presse d’avancer. D’autres enfants font de même, mais tous les parents les tirent par la manche. Le musicien a joué pendant quarante-cinq minutes. Six personnes se sont arrêtées et ont écouté quelques instants, et vingt ont donné de l’argent au passage. Il a récolté un total de 32 dollars, et quand il a cessé de jouer dans l’indifférence générale, personne ne l’a remarqué, personne n’a applaudi. Le plus drôle de l’histoire : le violoniste était Joshua Bell, virtuose de renommée mondiale, qui a joué les plus belles partitions jamais composées, sur un violon d’une valeur de 3,5 millions de dollars. Deux jours auparavant, il avait rempli un théâtre à Boston où les places coûtaient en moyenne 100 dollars pour entendre le même programme joué dans le métro ce matin-là. Voici donc la question : si vous n’avez pas le temps de vous arrêter et d’écouter l’un des meilleurs musiciens au monde jouer la meilleure musique jamais écrite, sur l’un des plus beaux instruments jamais créés, à côté de quoi d’autre passez-vous dans la course effrénée de votre vie ? Voilà qui mérite réflexion, n’est-ce pas
?